Cet article est le #2 sur Classequine, ( l’article #1) . J’ai été invité par Classequine mais j’ai quand même le droit de dire ce que je veux 😉
Une demi-journée de formation « gestion des urgences » avec Classequine
Après une bonne heure et demi de route ( c’est ça d’habiter au milieu de nulle part, ou presque ), j’arrive au centre équestre du buisson où a lieu la formation. Je suis un peu en retard, la formation à commencé ( un jour j’arriverais à l’heure). Je m’installe au bout de la grande tablée remplie de cavalière.
Pourquoi je suis là ?
J’ai été invité par Classequine (mais j’ai quand même le droit de dire ce que je veux ;)) pour participer à une de leur formation ayant pour thème : la gestion des urgences ( c’est marqué dans le titre » merci captaine Obvious » ). Parce que oui moi comme les autres propriétaires stagiaires ce jour là, quand notre cheval à un bobo c’est la panique !
Qui n’a jamais eu peur en voyant son cheval couché en arrivant au pré ? Alors que lui se dorait la pilule au soleil.
Revenons en au stage:
Après une partie théorique d’une heure sur les différentes urgences et leurs symptômes. Et surtout reconnaître une vraie urgence. Un cheval qui boite d’un coup n’est pas forcément une urgence ( promis je sortirais l’article sur les abcès un jour) . Je ne vous en dévoile pas trop, pour ça il faudra faire le stage 😉
Puis on a commencé la partie pratique (durée 2h)
Alors pourquoi piquer des oranges ?
On a appris à faire des piqûres intramusculaire (pour la calmagine qui sert notamment pour les coliques) . Avant de passer sur le cheval , on a tout simplement appris sur des oranges, parce que ça bouge moins et tu as peu de chance de la tuer . En vrai surtout pour apprendre le geste correcte, et la procédure pour piquer. Parce qu’on ne sait pas tous manier une aiguille, je ne l’avais jamais fait et déjà rien que dans une orange c’est pas rassurant . Autant vous dire que lorsqu’on est passé à la partie pratique sur les chevaux on ne faisait pas les malignes.
Bien évidemment on ne pique pas les chevaux qui vont très bien avec un produit comme la calmagine mais avec une solution qui n’a aucun effet, comme de l’eau.
Après avoir défini la zone ou l’on doit piquer, expliquée par la vétérinaire et tracée à la craie. C’est parti pour les piqûres sous l’oeil vigilant de la vétérinaire.
Le soin des plaies: le bandage
Après les explications de la vétérinaire et une démonstration de la réalisation d’un bandage sur un membre, c’est aux élèves du jour de réaliser les bandages .
[circles_gallery ids= »1127,1126,1125,1124,1122,1120″ gallery_width= »%80″ columns_no= »5″ columns_no_1024= »5″ columns_no_768= »5″ columns_no_phone= »5″ hover_effect= »1|effect1″ text_position= »outside » circle_icon= »fa-heart » click_action= »lightbox »]On a appris 2-3 autres trucs comme la vérification des muqueuses et le pouls digité dont j’ai déjà parlé dans mon intro à la podologie .
En bref, une matinée vraiment sympa et instructive. Si vous voulez en savoir plus j’ai également mis une petite vidéo sur la nouvelle chaîne youtube de chevaletmoi : vidéo classequine
Alors ça vous tente ?
Aliénor
2 Replies to “Classequine, une demi journée de formation”